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[REPORT] Compte-rendu du BIFFF 2019 !

Écrit par Monsieur Popcorn et Charline le .

Découvrir le festival du film fantastique de Bruxelles, c’est un peu particulier. Amenée par un habitué du BIFFF écrivant pour Anteverse, je me permets donc de faire mon petit retour sur cet événement pour tous les fans de films de genre.

C’est avec Crime Wave que je fais connaissance du BIFFF, de son public endiablé et de ses séances disjonctées et effectivement, c’est une bonne entrée en matière pour moi. Cette comédie noire espagnole fait le job avec son lot d’humour malgré un casting pas très convaincant et un peu too much. Malgré tout, cela reste un film aussi ensoleillé et réjouissant que ses blagues sont cyniques.S’ensuivra ensuite Achoura, film de monstre marocain original mais assez simple malgré son mélange intéressant d’horreur et de conte. On soulignera un monstre réaliste car pas entièrement défini et une mise en scène de qualité au service d’une bonne intrigue.Bref, tout l’opposé de The Pool, le genre de film médiocre qui profite du public du festival. On mettra donc de côté une malchance exagérée, des éléments disposés de manière grossière, son crocodile de synthèse et un jeu d’acteur peu convaincant pour le plaisir de voir le public exploser devant ce film thaïlandais.

crime waveCrime Wave

Petit retour ensuite sur La Nuit Fantastique, incontournable apparemment du festival avec ses quatre films diffusés d’affilée avant un petit déjeuner récompensant les courageux ayant tenus jusqu’au bout. On commence donc avec un Puppet Master : The Littlest Reich assez drôle par ses excès gores ayant apparemment ravi l’audience suivi d’un Finale au début lent mais au final fort mettant les spectateurs en position de voyeurs face aux atrocités commises avant de mettre de côté un Kill Ben Lyk à l’idée de départ intéressante mais au final déjà vu trop de fois et un I Am toxic bien plus sentimental qu’horrifique et n’apportant pas beaucoup à la figure du zombie.

puppet master the littlest reich 1Puppet Master : The Littlest Reich

On préférera parler de Rampant, film de zombie situé dans une Corée du sud historique au rythme assez équivalent et offrant aux spectateurs la dose de sensations fortes qu’il est venu réclamer. Je garde également un bon souvenir de Braid, thriller à l’intrigue recherchée jouant fortement sur une sensation de psychose constante ainsi qu’Aniara, film futuriste soulignant l’impossibilité de l’homme de retenir les leçons de son passé et de faire face à ses actes auto destructeurs. J’aurais voulu être plus positive sur Quiet Comes The Dawn, thriller sur la distorsion de l’esprit et notre rapport au réel, ou encore Impossible crimes, sorte de remake de Shutter Island accordant plus d’importance aux traumatismes du héros qu’à ses « crimes impossibles » mais les deux se sont avérés au final assez moyens.

1340x754 1 51 1170x480Rampant

Monsieur Link se révèle par contre être un gros coup de cœur avec son récit d’aventure coloré qui aura ravi un public d’enfants entièrement à sa cause. Bref, le film parfait à voir en familles à l’opposé de The Furies, où des filles doivent survivre en milieu hostiles face à des tueurs sanguinaires au vu de sa violence appuyée. Le film fonctionne et l’histoire marche même si elle est assez simple tout en révélant différentes réactions à la violence de l’intrigue de la part de ses personnages. Play Or Die joue lui des escapes games et malgré une tournure classique, s’avère intéressant notamment dans sa révélation finale. Stray touchait quant à lui à la perfection si sa créature n’était pas par instant assez mal faites, sans doute dûe à une post production pas tout à fait terminée lors de la projection.

maxresdefault 1The Furies

J’ai également pris beaucoup de plaisir devant Blood Fest, dôté d’un grain de folie et rassemblant différents genres d’horreur pour jouer avec leurs codes dans un film assez sanglant et très amusant. Ce fut moins le cas de Red Letter Day, bien que ce simili remake de la « Purge » offre un certain questionnement des gens sur leur manière d’agir quand ils se retrouvent appelés à assassiner un de leurs voisins. Enfin, le BIFFF s’est terminé pour moi avec The Fare, relecture d’un mythe anthique assez bien amené pour fonctionner malgré un résultat assez moyen. Bref, ce BIFFF fut pour moi une excellente découverte, en voyant peut-être pour y retourner l’année prochaine avec je l’espère autant de fun.

aDNVWBlood Fest

Le Palmares :

Compétition internationale:

Corbeau d’or : Little Monsters d’Abe Forsythe
Corbeau d’argent: Freaks de Adam B. SteinetZach Lipovsky
Corbeau d’argent : Extraordinary de Mike Ahern et Enda Loughman
Mention spéciale de Steve Johnson: The Pool de Ping Lumprapleng

Prix du public :

One Cut Of The Dead de Shin’ichirô Ueda

Compétition Méliès :

I’m Back de Luca Miniero

Compétition 7th Orbite :

Werewolf d’Adrian Panek
Mention spéciale à Cities Of The Last Things de Wi Ding Ho
The Pool de Ping Lumprapleng

Compétition Thriller :

Door Lock de Kwon Lee
Mention spéciale à Brother’s Nest de Clayton Jacobson

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