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[TEST BLU-RAY] La Maison Qui Tue

Écrit par Antephil le .

Si les années 60 et 70 auront fait résonner le nom de la Hammer dans le monde entier, la firme Anglaise n’était pas la seule a proposer de l'horreur gothique aux spectateurs, Amicus une autre maison de production Anglaise (mais tenue par des Américains) se spécialise dans l'horreur et qui a déjà proposé un excellent film a sketch, Le Train de L’épouvante en 1965. Amicus décide de récidiver en 1970 avec La Maison Qui Tue (The House That Dripperd Blood en vo) en débauchant Peter Cushing (Le Chien de Baskerville) et Christopher Lee (Dracula) tous deux alors très actifs chez les concurrents de la Hammer. Conduit par le fil rouge d'une enquête a propos d'une mystérieuse maison, le métrage propose quatre sketchs et qui grande loi du genre propose bien sur du bon et du (vraiment) moins bon. Particularité des quatre histoires, ces dernières ont toutes été écrites par Robert Bloch, écrivain et scénariste très prolixe, adepte d'Howard Philip Lovecraft et auteur du best seller Psychose qui donnera par la suite l’adaptation culte au cinéma que l'on connait. 

Dans le premier segment l'on retrouve Denholm Elliott dont le rôle de Marcus dans Indiana Jones et les Aventuriers de l'Arche Perdue et Indiana Jones et le Temple Maudit fit sa renommée mondiale ou un romancier voir l'assassin de son histoire se matérialiser pour s'en prendre a sa femme et commettre des meurtres que lui seul peut voir pour qui se veut être un sketch honorable. Dans le second segment intervient Peter Cushing hanté par la mort de sa femme qui découvre un musé de cire a l'énigmatique propriétaire pour une réalisation très psyché proche du giallo et de son maître Mario Bava. Une intrigue classique mais tout a fait dans l'air de son temps mais qui ne se relie quasiment en rien avec la maison de son titre son thème se passant quasiment en dehors de cette dernière

Pour le troisième volet le bat commence a sévèrement blesser dont la faute est doit beaucoup plus a son interprétation qu'a son intrigue très sympathique qui met en scène un Christopher Lee a contre emploi ce qui aura pu surprendre beaucoup de spectateurs de l'époque. Sir Lee s'en honorablement, mais l'enfant l'accompagnant dans ce sketch fait preuve d'un non jeu qui casse le mystère de l'histoire devant une incompétence rare même pour une très jeune actrice. Quatrième et dernier sketch qui se vautre dans la zederie avec son histoire de cape vampirique ou cette fois-ci l'acteur John Pertwee (futur Doctor Who) surjoue comme il n'est pas permis, grimaçant et transformant le sketch en pure comédie involontaire devant une telle non direction d'acteur et qui poussera aux rires involontaires.

Un défaut que l'on retrouve encore plus amplifié dans le final du fil rouge a l’incompétence rare qui fini d'enterrer La Maison Qui Tue et l'enfermer dans un films a sketchs anecdotiques qui restera seulement une curiosité de son époque que l'on conseillera surtout aux historiens du cinéma et du film de genre et bien entendu du film a sketch.

note2.5

TECHNIQUE

ESC Distribution propose une très belle copie HD de La Maison Qui Tue a la définition très acceptable et aux couleurs chaudes très typées pour ce genre de métrage. A part quelques flous et taches sur la pellicule, rien a redire sur cette édition HD. Coté sonore, une unique pister Master Audio en mono pour les pistes Anglaise et Française très audibles chacune. Le blu-ray est accompagné d'un DVD et le tout en format médiabook.

note3

BONUS

En guise de bonus une présentation de la Amicus par l’historien du cinéma et critique Laurent Aknin pour permettre d'en apprendre un peu plus sur la maison de production dont le nom aura bien été oublié pour beaucoup. L'on retrouve également Laurent Aknin qui revient plus en détail sur la conception et l'histoire de La Maison Qui Tue.

note3

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