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[DOSSIER] Compte-rendu du Hellfest 2016 !

Écrit par L'Escargot et Phantasm le .

LE REPORT

Phantasm :
 
Rentrons dans le vif du sujet sur cette édition 2016 du Hellfest, qui fut la plus critiquée par la frange la plus dure des Metalhead, reprochant au Hellfest d'être devenu le Disneyland du genre, mettant également en avant de nombreux défauts tels qu'un trop grand nombre de festivaliers et la visibilité difficile pour certains groupes, beaucoup d'abus de certains envers la gente féminine sous l'emprise de l'alcool (ou non), des personnes dont on pouvait se demander légitimement ce qu'elles faisaient au festival, trouvant la musique trop bruyante, les groupes extrêmes choquants et se moquant des apparats de certains (corpse paint ...), l'accès a la tyrolienne et sa "loterie" bien trop onéreuse et des groupes trop récurrents
 
Il est donc certain que le Hellfest a franchi un cap décisif quand a son statut et son organisation, et au delà d'être le plus gros festival du genre en France et en Europe celui-ci fait désormais figure d'attraction a part entière, attirant férus, néophytes, curieux (dont il est vrai qu'on peut se poser la question de la présence de certains) et ne pourra plus satisfaire les metalleux les plus intégristes et cherchant a tout prix le groupe underground a découvrir et un ambiance extrême. De nombreux festivals tels que le Motocultor, le Sylak, l'Xtreme-Fest et le récent Fall Of Summer (pour ne citer qu'eux) remplissent ce quota plus que parfaitement et sont plus enclin a recevoir cette frange citée plus haut. 
 
Pour son ambiance (encore plus a la nuit tombée), son très grand village, son extreme market, ses divers stands, le soin sur l'aspect visuel en font donc un événement incontournable pour la culture métallique en France, et nous faisons confiance a l'équipe du Hellfest pour améliorer encore plus le festival et de corriger les mauvais points de chaque édition. 
 
Pour terminer l'état actuel géopolitique amenant beaucoup de groupes a faire de commentaire sur le sujet lors des shows, un présence policière importante sur les lieux, un hommage a Lemmy des plus émouvant et son monument ont contribués a conférer a cette édition une aura moins folle que les précédentes, le tout ayant donc beaucoup affecté les avis et le ressenti de festivaliers.
 
Rendez vous donc pour l'édition 2017 qui ne pourra être que meilleure !
 
L'Escargot :
 
En véritable français, je revendique mon droit numéro 1 : RÂLER !
Eh oui, même si dans l’ensemble tout s’est très bien passé, il y a certaines choses qui pourraient être améliorées pour les années futures
 
Le merch des artistes
 
J’ai été extrêmement étonné de la taille du merch Hellfest et surtout de la taille du merch des artistes. Je peux comprendre que certains viennent au Hellfest principalement parce que c’est le Hellfest et pour compléter leur collection de tshirt à l’effigie du festival. Toutefois, il ne faut pas oublier que ce qui fait venir les gens aux festivals, ce sont les groupes ! Et personnellement, quand je vois le petit stand à côté de la Main Stage 1 avec trois pauvre tables et la queue de photographes devant, je me dit qu’il y a un truc qui ne va pas !
Ainsi peut-être qu’un stand plus central et moins proche des enceintes des main stage sera plus alléchant pour les fans en quête d’un tshirt de leurs groupes favoris.
 
Le Cashless
 
Véritable bénédiction pour les gens qui ont peur de perdre leur protefeuille, la carte cashless permet de payer sa bière sans passer deux heures à chercher la maudite pièce de 2€ qui a en fait été perdue en plein milieu du concert de DragonForce alors qu’on sautait comme des dingues.
Toutefois, il y a de nombreuses choses qui ne sont pas acceptés par la cashless (notamment la boufffe), ce qui nous oblige quand même à avoir du liquide en poche. Le principe du cashless est bon, mais peut-être que l’uniformiser sur l’ensemble des zones de paiement serait plus profitable et le slogan « No Cash In Hell » prendrait enfin toute sa valeur !
 
Remarque : En effet, les snacks Hellfest acceptaient la cashless, mais entre un bon bœuf à  la broche et un burger ultra gras et pas très nourissant, on a vite fait de faire son choix.
 
Les Ecocup
 
Le concept de l’EcoCup est quelque chose de très répandu un peu partout. On prend une bière, on paie un verre 1€, on boit sa bière, et on ramène le verre après pour récupérer son euro de consigne et éviter de le laisser traîner un peu partout.
Or j’ai été extrêmement étonné d’apprendre que les verres Hellfest ne sont pas repris ! On est obligé de le garder sur soi pendant les concerts (et donc le perdre une fois sur deux). En tout, j’ai dû  acheter entre 10 et 12 verres et 3 pichets sur les 3 jours. Au retour, je n’en avait aucun. Et où sont ils passés ? Eh bien avec les milliers d’autres débris de plastiques qui jonchaient les fosses des 6 scènes du festival. Pas très écolo tout ça…
 
Ambiance globale
 
Autrement, je félicite l’organisation pour l’ensemble des efforts qu’ils déploient dans la création d’ambiances très différentes entre les différents endroits du festival. Que ce soit la Warzone, le HellSquare, les scènes ou le mémorial Lemmy, le Hellfest c’est aussi un endroit que l’on visite. On prend plaisir à se poser dans le kingdom of muscadet, à s’allonger fouler l’herbe synthétique de la warzone en admirant le camp militaire ou a à prendre des photos du HellSquare.
Bref un plaisir pour les yeux, et pourvu que ça le reste !!
 
Une petite mention spéciale également aux dessinateurs des tshirts Hellfest qui font un travail remarquable chaque année ! Bravo !
 

Les groupes 

VENDREDI

Moonreich
 
En ouverture de ce festival, nous avons eu la chance de voir le quintet de black français de Moonreitch.
Distillant un black mélodique teinté de sonorités à la fois folk et de sonorités death, le groupe nous a servi une très belle mise en bouche pour ce festival qui s’annonce haut en couleur.
 
Audrey Horne
 
Alors qu’ils entament leur quatrième prestation sur les terres clissonnaises, le quintet norvégien tenu par Ice Dale (Enslaved) joue (étonnamment) de plus en plus tôt… Mais l’heure précoce n’a pas empêché les musiciens d’Audrey Horne d’envoyer toute leur énergie sur scène, pour le plus grand plaisir du public encore discret à cette heure. 
 
Tremonti
 
Suite à une erreur logistique, Mike Tremonti n’a pu monter sur la Main Stage à temps, ce qui a laissé un trou d’une heure amplement suffisant pour nous restaurer (à la bière) et profiter de l’ambiance générale du festival.
Le show a été reporté plus tard dans la fin de soirée, mais nous n’avons pas eu la chance d’y participer.
 
Shinedown
 
Tauliers du metal alternatif américain, les gars de Shinedown nous ont fait l’honneur de leur présence en Europe. Au vu de la rareté de l’événement, il nous était tout bonnement impossible de rater cette occasion.
Et quel trait de génie nous avons eu ! Réel coup de cœur de cette journée, le groupe nous a scotché sur place avec leur charisme, leur énergie, et leur communication avec le public (tellement que le chanteur est descendu dans la fosse, au milieu du public pour nous saluer !)
 
Halestorm
 
Plus présent en Europe que leurs prédécesseurs, la bande de Lzzy Hale est revenue taper du pied pour environ 40 minutes. 
40 minutes qui ont été largement bien exploitée pour nous montrer toute l’étendue de leur talent. Même le batteur a tenu à nous le montrer en nous faisant un solo de batterie (oui oui, ils ont eu le temps).
 
Jambinai
 
On quitte rapidement l’ambiance purement metal alternatif distillée sur la Main Stage pour aller écouter le post rock coréen de Jambinai. Alliant les sonorités typiques du genre avec les instruments traditionnels de leur pays d’origine, le son proposé par le groupe est très original bien que  difficilement accessible.
Au final, la petite trompette du guitariste a vite fait de nous décourager d’en écouter plus longtemps tant elle était entêtante.
 
Anthrax
 
Revenons donc sur la programmation américaine avec les géants du thrash metal : Anthrax.
Prenant le temps de nous jouer à la fois des vieux classiques et des nouveautés (dont la reprise de Trust, Antisocial), le groupe nous a montré qu’ils avaient de l’énergie à revendre. 
Toutefois, la très grande énergie de Scott Ian et ses copains n’a pas suffit à faire bouger le public pourtant assez nombreux…
 
Killswitch Engage
 
On reste dans l’américain, mais on change de registre avec le combo de metalcore de Killswitch. Alors que les accords de BFMV résonnent au loin, le quintet américain nous expose sa manière de voir les choses… De manière lourde et percussive.
Au final, le concert était vraiment très sympa, du circle pit et des mosh en bonus !
 
Volbeat
 
À peine un jour après la sortie de leur dernier opus ‘Seal the deal, Let’s Boogie’, le quartet danois est venu nous montrer comment on joue du Rock N Roll. Et ils nous l’ont si bien montré qu’après quelques accords, un cricle pit commence déjà à se former et aspire tout ce qui est autour.
L’énergie développée sur scène et la fraîcheur de leur compositions font un très bon mélange et ont largement contribué à la bonne ambiance qui a régné pour ce concert.
 
Rammstein
 
Clou du spectacle de la soirée, Rammstein est le groupe qui a ramené le plus de monde du festival. La foule était tellement compacte que traverser l’ensemble de la zone de festival a pris plus d’une demi heure (au lieu des 15 habituelles).
Je pourrai vous parler des superbes effets pyrotechniques mis en place par le groupe (c’est pour ça qu’on va les voir non?) mais autant parler d’une peinture sans l’avoir sous les yeux.
Je peux toutefois vous dire qu’il y a eu du feu, des ceintures explosives, un coeur qui explose, des guitares en feu, et bien d’autre.
Le groupe nous en a mis pleins les yeux et c’était vraiment beau à voir.
 
The Offspring
 
Dernier groupe de la soirée, le quartet de rock californien est venu pour nous rappeler qu’il n’y a pas si longtemps que ça, on portait des baggies, des chaussures de skate et on avait les cheveux pleins de gels pour faire des pics.
Bien que la fatigue des musiciens et le chant parfois poussif de Dexter Holland ont un peu empiété sur la qualité des chansons, le public a largement compensé ce léger détail. Toute l’audience scandait à fond les chansons qui ont bercé notre adolescence et bougeait comme lorsqu’on avait 15 ans !
 

SAMEDI

Thy Art Is Murder
 
Pour se réveiller, certains accompagnent leur café d’un croissant et de la matinale de France Inter. Mais à Clisson, le croissant devient de la poussière et France Inter ressemble bizarrement à du deathcore australien.
Et pour cause, c’est Thy Art Is Murder qui ouvre cette journée très core. Malgré les réveils difficile, un nombre impressionnant de personnes était déjà présent devant la Main Stage 2 et les gens affluaient de plus en plus ! 
La technicité et la violence des compos nous a fait un bel effet douche froide qui a doublé l’effet du  café. En bref, on a beau être matinal, Thy Art, ça fait mal !
 
Myrkur
 
Les compositions oniriques et l’alliance entre chant clair et scream black que propose Amalie Bruun ont été une très belle découverte live. Et même si on peut trouver à redire sur la qualité des compos et leur originalité, les 30 minutes de rêveries que nous ont vendu Myrkur ont permis d’ouvrir une belle parenthèse dans l’ambiance globale du festival.
 
August Burns Red
 
Groupe extrêmement influent de la scène metalcore, les américains d’August Burns Red sont venu nous prêcher leurs bonne paroles chrétiennes sur le sol clissonnais (que certains qualifient de maléfique et sataniste).
La présence scénique du quintet jointe à l’énergie débordante du public clissonnais ont fait de ce concert un pur moment de musicalité et de partage qui ne nous a pas laissé indifférent.
 
Glenn Hugues
 
À peine remis de notre claque infligée par ABR, nous voici en face de l’ancien Deep Purple et bassiste de renom : Glenn Hugues.
Et en toute subjectivité, c’était NUL ! Vraiment mauvais, rien à garder. 
Glenn a tout particulièrement voulu montrer à tout le monde qu’il avait de la voix, ce qui se traduisait grosso-modo par du « gna-gna-gna YAAAAAAHHHH !!!… Gna gna gna HAAAAAAAAAH... ». Bref les 10 minutes nécessaires à nous éloigner suffisamment de la scène pour échapper au massacre de Stormbringer ont été un réel supplice.
 
Disturbed
 
Quand on parle de Disturbed, un nombre assez conséquent de personnes vont vous répondre OUH-HA-HA-HA-HA ! (et c’est sans honte que j’assume faire parti de ces personnes). Ainsi, comme tout fan de cette chanson (et n’ayant rien de mieux à faire) je me pose devant la scène de Disturbed, et attend la fin du set pour entendre Down With The Sickness.
Toutefois, je ne me doutais vraiment pas que cette attente aura nécessité d’entendre la cover de Sound Of Silence (qui a beaucoup fait parler d’elle), celle de Killing In The Name Of (avec un solo vraiment chié), celle de Shout At The Devil (avec les membre de Sixx A.M en bonus) et l’horrible Glenn Hugues (encore lui!) qui est venu reprendre Baba O’Riley (et qui a presque failli m’achever). Mais après ces 4 reprises et quelques classiques du groupe, on a enfin pu avoir Down With The Sickness, et on était content.
 
Bring Me The Horizon
 
Réveillez l’emo dépressif qui est en vous et venez partager votre souffrance avec ceux qui comme vous pensent que le monde est vraiment trop nul et que de toute façon tu ne peux pas ressentir ce que je ressent… Oui oui, je parle bien de BMTH.
Bien qu’assez fan des premiers albums du groupe, je ne m’explique toujours pas pourquoi je me suis planté quasiment tout devant pour ce concert. Mais au final, le public très jeune et la violence d’une bonne partie des compos a rendu l’ensemble assez sympathique et pas trop long.
Petite mention spéciale pour les mouvements scéniques du chanteur qui peut se poignarder avec un cœur fait avec ses mains…
 
DIMANCHE
Alea Jacta Est
 
Hier, je vantais les mérite d’un réveil au deathcore avec Thy Art, et ça m’a tellement plu qu’aujourd’hui, j’ai décidé de faire la même chose avec le hardcore toulousain d’Alea Jacta Est.
Bonne petite mise en jambe, le groupe de hardcore ne nous a pas fait de cadeau et nous a bien bousculait alors que le café venait à peine de refroidir… 
C’est pas très très gentil… Mais d’un autre côté, c’est pour ça qu’on vient les voir !
 
Fallujah
 
Groupe de death technique en pleine ascension, les américains de Fallujah n’ont pas encore réellement fait leur trou sur la scène européenne, mais comptent bien venir laisser leur marque.
Et c’est en effet ce qu’ils ont fait. En seulement 40 minutes de jeu, le quintet a pu nous montrer ce qu’est Fallujah : un bon groupe de death sachant allier avec brio des passages qui tabassent avec des ambiances planantes, le tout agrémenté d’envolées mélodiques et de solos ultra technique.
Le public, bien qu’encore un peu timide (ou en train de manger) a très bien accueilli le quintet avec un circle pit géant et des applaudissements très chaleureux. Vivement leur prochain passage !
 
Dragonforce
 
Je me rappelle avoir eu une discussion en rigolant avant d’aller me placer devant la Main Stage 2 qui pouvait se résumer à : « Bon allez, je vais faire les gros mosh pitt de DragonForce ! ».
Et on ne pouvait pas avoir plus raison, le power speed de DragonForce a très rapidement engendré un circle pit furieux et très bon enfant !
Pour leur première date au Hellfest, (et pour l’anniversaire du bassiste Frédéric Leclerc), le public clissonnais a très bien acceuilli la formation anglaise qui n’en revenait pas de notre énergie !
Au final, on est tous ressorti cassé du concert de DragonForce, mais qu’est-ce que c’était bon !!
 
Gojira
 
Véritable institution française, je suis toujours très étonné de l’heure à laquelle joue Gojira. Alors que les trois quart du festival est rassemblé devant la Main Stage 1, on pourrait très bien imaginer le groupe en milieu de soirée, voir en tête d’affiche dans les années futures.
Autrement, comme toujours, le concert de Gojira c’est super sympa, on headbang, on crie les refrains, on pleure (dans le bon sens) devant les 3 nouvelles compos tout droit sorties de Magma, leur nouvel opus, mais surtout, on hallucine devant le monde qui est rassemblé ! 
 
Blind Guardian
 
Véritable taulier du power metal épique, la bande d’Hansi Kürch fait parler d’elle de temps en temps avec un nouvel album ou une tournée. Malgré un public pas très imposant (en comparaison de Gojira), les allemands nous ont fourni un set assez éclectique avec quelques nouveautés et des incontournables à scander en choeur !
Et même si on était en droit d’attendre plus de réaction du public sur The Bard Song ou Valhalla, on a passé un bon moment, mais qui aurait pu être inoubliable si le public avait mieux joué le jeu.
 
Katatonia
 
Vraiment exténué par ces trois jours intensifs de festival, je décide de ralentir un peu le jeu et hésite à faire une sieste devant le blues rock de Rival Sons ou le métal ambiant de Katatonia. Au final, une bière en main, je choisi la formation suédoise, plus propice à la sieste.
Et holy shit que c’était bon !
Le groupe nous a, une fois de plus, montré que le metal ça peut aussi s’écouter allongé dans l’herbe avec une bonne bière. Et même que ça requinque !
 
Walls of Jericho
 
Après ma petite sieste bien méritée, me voici en route pour une ambiance bien plus violente… Le hardcore de Walls of Jericho.
Mais avant d’arriver à la scène, il faut passer sous l’arche de la warzone et son sol jonché de copeaux de bois… Mais si on regroupe, du hardcore, des métalleux et des copeaux de bois, qu’est-ce qu’on obtient ? UN BEAU BORDEL !
Et c’est ainsi qu’on se retrouve, bon gré, mal gré pris dans un mosh pit sous une pluie de copeaux. Au final, ces 55 minutes de concert nous ont rappelés qu’une bonne dose de gaminerie ne fait jamais de mal (au contraire) et si c’est pendant un bon concert de hardocre, c’est encore plus drôle !
 
Heaven Shall Burn
 
Alors qu’une bonne partie du festival est regroupée devant le super show de Ghost, une poignée de personne vient progressivement se regrouper autour de la warzone pour l’un des derniers concerts du fest.
Véritable char de guerre teuton, Heaven Shall Burn a fait l’effet d’un rouleau compresseur et a galvanisé son public en moins d’une demi seconde. Alors qu’un mosh géant recouvrait la fosse de la Warzone, le groupe nous envoyait baffe sur baffe, sans nous laisser une seconde de répit !  
Beau bouquet final du festival (ou presque), Heaven Shall Burn c’est puissant, et ça fait mal. Très mal !
 
Black Sabbath
 
À peine remis de mes émotions, je parviens à me faufiler dans la foule déjà massivement amassée devant la Main Stage 1 pour admirer les papas du metal : Black Sabbath.
Je n’ai pu voir le show en entier, mais la petite heure a tout de même été un moment intense. Même si on pouvait reprocher un manque d’énergie aux membres du groupes (excuser leur grand âge), les morceaux défilaient langoureux et prenant.
Après avoir scandé les morceaux mythiques comme War Pigs, Paranoid ou encore Children Of The Grave, on en vient à la conclusion inévitable, Black Sabbath c’est fini (sûrement pour toujours) et le Hellfest aussi.
 

LES PHOTOS

(crédit photo Hellfest)

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