Shelby Oaks

Il y na des métrages que l'on attend fermement grâce a une campagne pormotionnelle reussie et encore plus dazns le domaine de l'horreur, exemple avec Le Projet Blair Witch et ici dans ce cas Shelby Oaks. Petit tappage au niveau des fans de l'horreur justement par rapport a cette parenté avec la soricére de Blair, Shelby Oaks ayant une (toute petite) partie found footage avant que la mise en scéne devienne plus classique ce qui fait que nous suivons des personnes regardant des passages de found footage sur d'autres accessoires et c'est ce qui fait tiquer ici.

En effet le métrage de Chris Stuckmann aurait pu être entièrement être un found footage mais l'on fini plus part se divertir devant un Insidious ou Conjuring like qui aurai forniqué avec Le Projet Blair Witch. Nous y suivront une femme ici qui part a la recherche de sa sœur disparue il y a 12 ans (oui il lui faudra un temps pour s'y mettre) alors que cette dernière faisait un exploration en vidéo pour Youtube avec un groupe d'amis qui ont tous été retrouvés mort.

 

C'est donc dans une déception que l'on part pour Shelby Oaks qui du coup n'aura pas inventé la poudre et sera finalement assez classique dans son déroulement, son climax et son final. La mise en scène est assez classique également et l'on pourra pester sur des effets spéciaux assez faibles et une entité peut être trop présente alors que plus de mystère aurait mieux fonctionner sur le spectateur qui la verra bien trop tôt et bien trop amplement ce qui est dommage vu encore je le répète cette ressemblance que partage le métrage avec Le Projet Blair Witch dans le style horreur avec un thème folklorique.

On notera la prestation de Camille Sullivan (The Island Between Tides) qui porte a elle seule Shelby Oaks qui figure parmi les déception de l'année dans le style surtout après toute cette attente. Vous pouvez décider de tenter l'aventure de son visionnage mais attention donc de vous trouver face donc a un gros rendez-vous manqué.