Darkenhöld - Castellum
Amateurs de Black Metal et d'univers médiéval, voici un album incontournable, à écouter en boucle lors de vos parties de Skyrim, sur votre trajet à la fête médiévale du village ou lors de vos barbecues en famille...
Commençons par la pochette, car c'est bien entendu la première chose que l'on voit quand on tient le cd entre nos mains, et que si vous êtes comme moi et que vous ne savez pas quoi achetez, l'artwork est bien souvent décisif. Elle est magnifique et une belle cover me donne toujours l'envie d'écouter, c'est donc avec un a priori positif que je débute l'écoute.
Aux premiers accords, on entre dans le vif du sujet, un black dans la plus pure tradition, aux influences folks médiévales. On sent que les niçois n'en sont pas à leur coup d'essai! Fondé en 2008, le groupe est déjà fort de deux albums (2010-2012), deux splits (tout deux en 2009), quelques apparitions sur des compils et deux participations à des tributes de groupes légendaires (Emperor et Enslaved). Malgré que ce chant typique du style soit très répandu, Cervantès le maitrise à la perfection.Les textes en Français sont parfaitement audibles et c'est appréciable. La production est de qualité, chaque instrument étant à sa place remplissent leurs rôles respectifs sans que l'un n'empiète sur le territoire de l'autre. L'ensemble donne un Black épuré, mélodique, profond, puissant et bien dosé.
Commençons par la pochette, car c'est bien entendu la première chose que l'on voit quand on tient le cd entre nos mains, et que si vous êtes comme moi et que vous ne savez pas quoi achetez, l'artwork est bien souvent décisif. Elle est magnifique et une belle cover me donne toujours l'envie d'écouter, c'est donc avec un a priori positif que je débute l'écoute.
Aux premiers accords, on entre dans le vif du sujet, un black dans la plus pure tradition, aux influences folks médiévales. On sent que les niçois n'en sont pas à leur coup d'essai! Fondé en 2008, le groupe est déjà fort de deux albums (2010-2012), deux splits (tout deux en 2009), quelques apparitions sur des compils et deux participations à des tributes de groupes légendaires (Emperor et Enslaved). Malgré que ce chant typique du style soit très répandu, Cervantès le maitrise à la perfection.Les textes en Français sont parfaitement audibles et c'est appréciable. La production est de qualité, chaque instrument étant à sa place remplissent leurs rôles respectifs sans que l'un n'empiète sur le territoire de l'autre. L'ensemble donne un Black épuré, mélodique, profond, puissant et bien dosé.
La musique nous imprègne totalement dans l'univers créé par le groupe, et en parcourant les titres on se prend à jouer les chevaliers solitaire en quête d'aventure, d'hypocras et de jolies filles aux atouts prononcés (Le souffle des vielles pierres). Ce disque est de ceux dont on ne se lasse pas, qu'on a envie d'emmener partout, de partager. Il n'y a pas à proprement parler de titres meilleurs que d'autres, ils sont tous dans la même lignée, mais certains sortent tout de même leur épingle du jeu. C'est le cas de "L'Incandescence Souterraine" avec son intro gratifiée d'un clavier à l'efficacité redoutable et d'une ligne rythmique aux petits oignons. Ajoutez à cela un groove de basse en total accord avec l'esprit de la chanson et vous obtenez un titre qui s'il n'atteint pas la perfection, sans approche à la toucher du bout des doigts. L'instrumental "Foedus Obitus" très bon mais un peu court, on aurait un aimé une piste un peu plus longue, tant l'idée était bonne.
Un vrai chef d'œuvre que tout blackeux se doit de posséder dans sa discothèque, un format K7 est disponible chez Les acteurs De L'ombre pour les collectionneurs.