Ça y est, malheureusement nous le tenons enfin, l'album le plus faible de Kreatordepuis...attention petit débat, certains dirons "Cause For Conflict" (1995) mais perso je trouve cet album franchement cool, d'autres dirons "Renewal" (1992), mais perso encore je trouve cet album aussi franchement cool par ses expérimentions, alors personnellement je dirais que Kreator ne nous a pas proposé un album bien moins inspiré depuis l'antédiluvien "Terrible Certainty" (1987). D'autant plus décevant que "HateÜberAlles" fait suite aux meilleurs albums du groupe depuis son rerour au gros thrash après un (excellent) "Endorama" (1999) completement inspiré par les gothiques de The Sisters Of Mercy", le renouveau deKreatoravec "Violent Revolution"(2001), "Enemy Of God"(2005), "Hordes Of Chaos" (2009), "Phantom Antichrist" (2012) et "Gods Of Violence"(2017).
Il fallait bien que les Allemands (rejoints par le Français Frédéric Leclercq a la basse et tres a sa okace dans le quatuor) finissent par tourner en rond avec leur thrashextreme aux touches mélodiques. J'y ai pourtant cru en la remise en question des musiciens et l'ajout de nouvelles idées a sa musique avec le single "666 - WorldDivide" présenté en 2020 avec l'apport de vocaux féminins et une belle mise en avant de la basse de Frédéric Leclerc pour un des meilleurs titres du groupe. Une expérimentation pour Kreatorque l'on retrouve également sur "HateÜberAlles" avec une nouvelle fois l'apport du chant féminin sur le basique "Conquer And Destroy" et l'énervé "Midnight Sun", un excellent ajout pour ce dernier titre.
Le gros point faible de "HateÜberAlles" vient du fait que Kreatorne nous avait pas proposé depuis longtemps autant de titres classiques et passe partout comme "Crush The Tyrants", "BecomeImmortal" avec ses choeurs en fin de titres, et l'introspection de Mille Petrozza,, "Conquer And Destroy" malgré ses soli en furies, le speed/thrash metal de l'académique "Demonic Futur" et un "DyingPlanet" midtempo trop classique pour emporter totalement l'adhésion. Tout était donc bien parti avec l'introduction hommage au réalisateur Italien de western spaghetti, Sergio Corbucci (Le Grand Silence, Le Spécialiste) et une sensation de production plus roots que jamais (aidé par un visuel qui nous renvoie à l'époque du triplé "Endless Pain" (1985)/"Pleasure To Kill" (1986);/"Terrible Certainty" (1987).).Kreator s'offre tout de meme des belles turies comme son morceau titre extremement enervé a l'entetant refrain, aux soli furieux, ses influences heavy metal et un Ventor qui se lache comme un damné a la batterie pour ce qui reste un tite taillé pour la scéne. Kreator sauve aussi la façade avec le viintage 'Killer Of Jesus", 'Strongest of theStrong" et ses touches de heavy plus enjouées lui aussi taillé pour la scéne, les grosses parties de thrash bourrin de "Midnight Sun" et le midtempo"PrideComesBefore The Fall" qui nous fait lun deux petits tours brutaux a 180 degrés pour briser son rythme repetitif.
Il fallait donc bien qu'a un moment Kreator nous fasse une belle baisse de régime aprés une discographie quasi exemplaire en qualité, je reste moins sévere que certains de mes confreres mais je me joint a eux avec une note finale que beaucup lui ont attribué, Kreator tentant a nouveau l'experimentation avec ses choeurs et voix feminines, mais la aussi depuis longtemps "Hate Über Alles" est un album ou il faudra faire une selection de titres pour éviter de quelques peu s'ennuyer poliment lors du manque d'imagination de la part des Allemands. "HateÜberAlles" est donc l'album le plus faible de Kreator depuis aller dirons nous depuis au moins 25 ans. (pour mettre plus ou moins tout le monde d'accord). À vous donc de vous faire votre sélection de titres avant de pouvoir profiter en live des meilleurs morceaux de ce 15eme opus, qui meme si grandement iimparfait du a un pilotage un peu trop automatique restera toujours un album correct pour les fans de Kreator grâce aux entre autre toujours excellents riffs de Mille Petrozza et des toujours aussi bons soli de Sami Yli-sirniö.