Deathstalker
Il est revenu, il est revenu Steven Kostanski le réalisateur de l'inénarrable Psycho Goreman, le maitre des combis en latex, des effets spéciaux fait avec des bouts de ficelles et tout cela dans un délire absolu, oh que oui ce métrage avait pu marquer ses spectateurs, alors son grand retour ce Deathstalker était très attendu. Très loin de l'univers science-fictionnel/foutraque et bourré d'idées les plus folles les unes que les autres Kostanski se tourne cette fois-ci vers la fantasy avec ce Deathstalker.
D'après les recherches sur l'histoire du métrage il s'agit d'un remake d'un film du même nom de 1983, et a voir le budget de cette version 2025 on se dit que si le métrage original avait besoin d'un bon détartrage c'est que lcette premiere version de ne devait pas tenir debout aisément et devait être déjà un très low budget. Mais attention Deathstalker sous ses airs de film fauché a du avoir un budget conséquent sur les maquillages, prothèses, costumes en latex et autre effets spéciaux old school, on ira même jusqu'à du stop motion ce qui doit couter tout de même un certain temps a tourner la scène donc a augmenter la somme.
Pour faire simple nous somme ici très proche de la trilogie Evil Dead, que ce soit pour le gore, les donc effets spéciaux mais surtout que nous avons ici un héro qui doit faire face a des Dreadites pour trouver un fameux Nekromemnon ... cela vous dira forcement quelques chose si vous êtes fans la trilogie de Sam Raimi avec ses Deadites et son Neconomicon, cela était il déjà le cas dans la premier version impossible de le dire sans l'avoir vu. Et ici les références a Evil Dead passent aussi par un combat de squellettes ce passage en stop motion comme lors de la bataille finale de'Evil Dead - L'Armée des Ténèbres, il ne peut s'agir que d'un hommage c'est obligatoire (surtout une certaine créature que je vous laisserai découvrir.). Prenez donc cet Evil Dead pour point de référence et vous en aurez presque toute l'histoire et les effets spéciaux ce Deathstalker.
Mais ici nous somme donc en plein heroic fantasy avec son barbare, sa voleuse et son minuscule sorcier qui servira de sidekick et ses deux grand méchants qui servirons eux de boss finaux une fois après avoir affronté les créatures les plus fantasques les unes que les autres. Heureusement pour lui métrage dispose d'un acteur principal qui tiens la route avec l'acteur/cascadeur Daniel Bernhardt (Matrix Reloaded, John Wick) même si l'on est loin de la stature d'un Conan Le Barbare et prenant tout au premier degrés devant un tel bestiaire et un scénario aussi basique. Par contre il y aura un gros bémol a toute ce déluge d'efets pratiques et le comble pour un tel film, c'est de manquer de magie. La ou Psycho Goreman était un festival d'inventivité comique et de référence mais ici c'est niet, tout est donc pris au premier degrés, pour mettre du filtre sur l'image pour chaque zone de l'intrigue traversée il y a du monde, pour le rester il s'agit d'un vrai comble de manquer autant de magie mais aussi d'humour pour ce type de realisation.
Mais ici nous somme donc en plein heroic fantasy avec son barbare, sa voleuse et son minuscule sorcier qui servira de sidekick et ses deux grand méchants qui servirons eux de boss finaux une fois après avoir affronté les créatures les plus fantasques les unes que les autres. Heureusement pour lui métrage dispose d'un acteur principal qui tiens la route avec l'acteur/cascadeur Daniel Bernhardt (Matrix Reloaded, John Wick) même si l'on est loin de la stature d'un Conan Le Barbare et prenant tout au premier degrés devant un tel bestiaire et un scénario aussi basique. Par contre il y aura un gros bémol a toute ce déluge d'efets pratiques et le comble pour un tel film, c'est de manquer de magie. La ou Psycho Goreman était un festival d'inventivité comique et de référence mais ici c'est niet, tout est donc pris au premier degrés, pour mettre du filtre sur l'image pour chaque zone de l'intrigue traversée il y a du monde, pour le rester il s'agit d'un vrai comble de manquer autant de magie mais aussi d'humour pour ce type de realisation.
Steven Kostanski nous est donc revenu en petite forme avec Deathstalker mais rien de bien grave car les plus endurants y trouveront la un film sortant continuellement du commun et mérite un visionnage curieux et pour continuer de perpétuer l'état d'esprit du réalisateur. Deathstalker n'est pas complètement un coup d'épée dans l'eau car il aura le mérite d'exister et se trouvera une belle petite place parmi les films autres et parmi les fans de fantasy. On espère maintenant que cela ne nuira pas a la viabilité de Kostanski pour un prochain film, mais ca seul l'avenir nous le dira.


